Poèmes

SI   Si j’étais l »océan Goutte d’eau tu t’y noierais. Si j’étais une fleur des champs, Papillon, sur moi, tu te poserais. Si j’étais dune de sable, Grain coquin, en moi, tu te perdrais. Si j’étais ce fruit sucré, Ta

RÊVERIE   M’endormir près de toi, M’endormir dans tes bras, Partir à la découverte De tes lèvres offertes, Cueillir un dernier baiser Puis rejoindre Morphée Et, dans la soie des draps, Sentir tes mains sur moi. Doux rêve que voilà,

OUBLIE MOI   Oublie moi Je ne veux plus jouer, Je ne veux plus rêver Qu’un jour tu pourrais m’aimer, Pas seulement me désirer. Pour toi, Je ne suis qu’une poupée Rangée dans un coffre à jouets, Que tu sors

ENVOL Sur les ailes du vent Je voudrais m’envoler, Comme ces oiseaux blancs Aux ailes déployées. Survoler les contrées Où nul n’est allé, Et sentir ces parfums Subtils et envoûtants De fleurs inconnues Et de fruits défendus. Voir au- delà

Des mots   Des lettres se donnant la main,   Dansant une farandole.   Des idées qui s’envolent   Vers ce pays lointain   Où la pensée devient voyage,   Comme une histoire pour enfant sage.   Des mots sur

VIS Tu avances dans la vie Comme dans un cauchemar. Vis avant qu’il ne soit trop tard. Vivre est un cadeau. Il n’est pas toujours très beau, Il peut avoir des défauts, Mais regarde les d’un œil nouveau. Vis. En

ENVOL Sur les ailes du vent Je voudrais m’envoler, Comme ces oiseaux blancs Aux ailes déployées. Survoler les contrées Où nul n’est allé, Et sentir les parfums Subtils et envoûtants De fleurs inconnues Et de fruits défendus. Voir au-delà du

OUBLIE MOI   Oublie moi Je ne veux plus jouer, Je ne veux plus rêver Qu’un jour tu pourrais m’aimer, Pas seuleument me désirer. Pour toi, Je ne suis qu’une poupée Rangée dans un coffre à jouets, Que tu sors

ESPOIR A l’automne de ma vie Mes illusions enfuies, Je veux toujours y croire. J’imagine qu’il dort, Qu’il attend sagement, Tout comme la Belle au Bois Dormant, Qu’un tendre et doux baiser Un beau jour vienne l’éveiller. Mais où te

BAISER VOLE Légères comme des plumes, mes lèvres te découvrent. Papillons de douceur, sur ton front elles se posent, Parcourant les sillons que les ans ont tracés. Lentement elles effleurent tes paupières encore closes, Craignant de t’éveiller, te laissant à